#1418MPLF : Carte collaborative

Objectif : construire une carte collaborative des poilus morts pour la France au cours  de la première guerre mondiale.

 

Comment s’y prendre ?

Sur tous les monuments aux morts de France sont consignés les noms des personnes originaires du
village qui ont été tuées lors des différents conflits.

           noms1_pf                 noms2_pf

 

Le site « Mémoire des Hommes » propose une base nominative des hommes engagés dans le conflit
de la première guerre mondiale.

http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr

En effectuant une recherche sur ce site à partir des noms présents sur le monument aux morts, il est
possible de retrouver une trace de ces personnes et de connaître l’endroit où un soldat est tombé au
combat.

memHom1

memHom2

Il reste alors à renseigner la carte collaborative en ajoutant un repère (un code couleur par région de
France d’origine) et en complétant ce repère avec le nom, le prénom , la ville et le département
d’origine du soldat ainsi recensé. On peut aussi ajouter la date du décès à côté du nom.

 

http://umap.openstreetmap.fr/fr/map/1418mplf_14857

umap1umap2Enfin, annoncer l’ajout de ce repère avec un message du type :
#1418MPLF nom prenom (Département), tombé en 191x à VILLE (Département)
#1418MPLF PERRIN Albert (54) tombé en 1916 à HAUDIOMONT (55)

Tutoriel complet, détaillant le code couleur utilisé :

1418MPLF

Un projet de séquence pour le cycle 3, à partir d’une visite du monument aux morts de la commune par exemple, est disponible sur le blog de calestampar.

AbulÉdu’Zine

Vous pouvez retrouver dans cet article l’ensemble des AbulÉdu’Zine proposés par l’association AbulÉdu-fr.

 

AbulÉdu’Zine n°1 :

  • Théorie du glisser-déposer
  • Les nouveaux logiciels du Terrier
  • Pourquoi et comment contribuer
  • Concours de coloriage
  • Les clients lourds AbulÉdu/Linux
  • Le glisser-déposer
  • La calculette capricieuse
  • Les dernières mises à jour d’AbulÉdu serveur (9.08)
  • Une galette des rois sans fève ! AbulÉdu DVD Live et le logiciel du mois
  • Le logiciel du mois de janvier : Mulot
  • L’interview du mois : François Audirac

 

AbulÉdu’Zine n°2 :

  • Fubu-Quoi ? Fubuki !
  • Home, Sweet Home
  • De la purée d’AbulÉdu !
  • Histoire d’utilisateur
  • La touche Imprime-Écran :
  • $ diff 8. 08 9. 08
  • Du pingouin en boîte
  • Fubiki en action
  • Do you speak English ?
  • Un bureau comme les grands

 

AbulÉdu’Zine n°3 :

  • Il est frais mon Zine !
  • Raconte-moi
  • Installations sur clients windows
  • Interview de Gabriel et Thomas
  • Classer : Pourquoi ? Comment ?
  • Développement des logiciels du terrier
  • Mises à jour de rentrée
  • Les DVD-Live pour les familles
  • Bibliothèque sonore multilingue

 

AbulÉdu’Zine n°4 :

  • Le défi du Père Noël
  • Mini-Tice
  • Tierce et Compagnie
  • Un week-end de travail
  • Virtuel ou réel ?
  • Un logiciel d’histoire au cycle 3
  • Préscolaire Québécois
  • Trois terminaux en CE1
  • Les petites phrases

 

AbulÉdu’Zine n°5, spécial BabyTwit :

  • Naissance de BabyTwit
  • Pourquoi BabyTwit.fr
  • Le micro-blogue en classe
  • Micro-blogue et Maxi-blagues
  • BabyTwit vs Twitter
  • Suivez le guide
  • Foire Aux Questions
  • Bonus…

 

 

Mon utilisation de Babytwit en CM2

Enseignant depuis 11 ans et directeur d’école depuis 3 ans, j’enseigne en CM2. Étant sur twitter avec un compte personnel depuis quelques temps, j’avais envie de me lancer dans une « twittclasse ». C’est donc tout bonnement que j’ai créé un compte avec ma classe et nous voilà lancés dans la grande aventure de ce réseau social.
La classe a ouvert son compte en janvier et il a été difficile de se rendre visible au milieu de toutes les classes de ce réseau. Nous avons communiqué avec l’école située dans la commune voisine et ça s’est arrêté là.

Il était donc frustrant d’utiliser twitter car sans interaction, un réseau social n’est pas grand-chose.
Puis est arrivé BabyTwit. Je reçois un mail de mon ATice de circonscription me présentant un projet clé en main (toujours appréciable) concernant des Tw’haïkus. Il s’agissait pour les élèves d’écrire un haïku à partir d’une photo publiée sur BabyTwit.

 

selection_055-3f011
Dans ma classe, on produit de l’écrit deux fois par semaine et les élèves sont habitués à cet exercice de style. Mais là, leurs écrits prenaient une toute autre dimension : ils allaient être mis sur un réseau social. La quantité modérée de classes présentes sur BabyTwit (tout relatif quand on parle d’Internet) a permis à notre compte « d’exister » immédiatement. Les haïkus étant commentés et mis en favori.

 

selection_056-96741

Concrètement, les élèves écrivaient leurs textes au brouillon puis, quand ils s’étaient relus et étaient sûrs d’eux, l’écrivaient sur leur post-tweet (un simple post-it) à gauche du tableau interactif. Les post-tweets corrigés étaient déplacés à droite du TBI afin d’être écrits sur BabyTwit. On sélectionnait ensuite ensemble les haïkus qui nous plaisaient le plus et les élèves concernés les écrivaient.
Par la suite nous avons alimenté notre compte BabyTwit en publiant les résultats de nos statistiques (pourcentage de filles dans la classe, pourcentage de garçons, etc.). Nous avons aussi parlé littérature de jeunesse avec « une histoire à quatre voix ».

 

selection_057-75f22

Les collègues avec qui je discute sur Twitter et adeptes des twittclasses depuis longtemps me diront qu’avec Twitter on fait déjà tout ça. Je réponds oui et j’ai d’ailleurs fait vivre les deux comptes en parallèle tout au long de l’année et force est de constater que la visibilité était moindre sur Twitter (ce qui peut aussi m’être imputé).

 

Mais le plus gros défaut d’utilisation de Twitter, c’est de faire une publicité gratuite à ce réseau social. En effet nombre de mes élèves se sont inscrits sur Twitter par la suite. Certains n’ont pas été très actifs mais d’autres le sont beaucoup plus et comptent un nombre de « followers » impressionnant.
Il est vrai qu’on ne peut envisager le B2i comme il y a dix ans et qu’il est nécessaire d’évoquer l’utilité et les dangers des réseaux sociaux, mais est-ce à l’école de le faire en prenant le risque mettre le pied à l’étrier à l’utilisation de ce réseau social ?

Je le crois et si création de compte il y a, c’est un dommage collatéral de la création d’une twittclasse d’où la nécessaire information aux parents. Certes des élèves ont aussi créé un compte babytwit mais les « conséquences » sont moindres surtout quant à l’utilisation des données personnelles.
Je vous invite d’ailleurs à lire le AbulÉdu’Zine n°5, spécial BabyTwit qui m’a convaincu.
Pour l’année scolaire qui arrive, je pense faire coexister les deux comptes en parallèle. Une période sur l’un et une période sur l’autre. Il est important que les élèves soient aussi confrontés à ce qui existe numériquement hors des murs. Il est nécessaire pour un public d’élèves de RRS qui ont pour beaucoup déjà un profil Facebook de pouvoir être confrontés à un réseau social dans le cadre de l’école afin d’ouvrir le débat (avec les parents) et qu’ils puissent commencer à se construire une identité numérique.

Matthieu Parcaroli

Twitter ou Babytwit ?

Ancienne utilisatrice de Twitter en classe maternelle depuis 2010, j’ai basculé sur Babytwit à sa création, ou presque. Je n’y trouve pour l’instant que des avantages.

Le site Abuledu-fr a déjà mis en ligne les garanties que Babytwit apporte par rapport à Twitter, en particulier le respect des données personnelles et de la vie privée.

Bien sûr, l’interface de Babytwit est un peu moins accessible pour de jeunes enfants [1]. Avec des apprentis lecteurs, il est de toute façon nécessaire de guider les enfants, sur l’un ou l’autre site. Cela n’empêche en aucun cas la correspondance avec les familles et avec d’autres classes. Je précise que mes élèves saisissent eux-mêmes la quasi totalité des messages postés, soit en individuel, soit en collectif.

Sur Twitter, j’avais un compte fermé, protégé, nos abonnés étaient surtout des familles, et quelques collègues que les enfants avaient acceptés. Quelques classes nous suivaient, mais nous n’avions pratiquement d’interactions qu’avec les familles des enfants.

 

selection_059-86ec7

Les membres actifs de l’association AbulÉdu-fr sont attentifs aux remarques des enseignants pour améliorer l’outil Babytwit et faire évoluer ses fonctionnalités chaque fois que c’est possible. La maternelle n’est pas oubliée, une version plus adaptée aux petits est en cours. On ne trouvera jamais cette écoute sur Twitter.

Pour faire participer mes élèves au premier concours de Twittérature proposé par l’ITC, j’ai ouvert le compte classe durant une quinzaine de jours, juste le temps du concours, afin que les tweets des enfants soient pris en compte. Des messages indésirables sont apparus aussitôt, je devais chaque jour bloquer des comptes d’abonnés saugrenus voire malvenus. J’ai préféré protéger le compte à nouveau sitôt le concours terminé.

Plus tard dans l’année sont arrivés des spams envoyés par des comptes de parents, peu habitués aux réseaux, et piratés. Bien sûr, j’avertissais à chaque fois les familles pour qu’elles changent leur mot de passe.

Quel confort sur Babytwit de n’avoir plus à subir ce genre de désagrément. La communauté restreinte à la communauté éducative est tout de même mieux adaptée aux plus jeunes. Avec des élèves plus âgés, sans doute l’ouverture sur le monde permet de mieux saisir l’étendue d’internet, mais les nôtres ont-ils besoin de tout cet espace ?

En maternelle, la sécurité offerte par Babytwit permet davantage d’ouverture et d’autonomie pour les élèves.

Si notre compte classe est toujours protégé, c’est davantage pour limiter le volume d’écrit à lire (j’utilise Babytwit exclusivement dans l’apprentissage de la lecture et cela demande beaucoup de temps), et pour une éducation au net en situation, que par crainte réelle des intrusions.

De plus nous avons trouvé des correspondants cette année, ce que je n’avais jamais obtenu auparavant sur Twitter. (clin d’œil @gillymat)

Notre ancien compte Twitter existe toujours. Sur la page d’accueil on peut lire « @lesgribouilloux sont partis sur babytwit.fr »

selection_058-1dcfc

Isabelle Bauchet


 

[1] Manque d’icônes
notifications perturbantes
taille de police petite pour des maternelles

Coloriser une image en N&B avec GIMP

Fermer – Remplir – Peaufiner

 

Remplir :
Nous utiliserons pour cela l’outil pot de peinture
La fonctionnalité de cet outil est de remplir avec la couleur de premier plan une zone fermée

1/ Sélectionner la couleur de premier plan
2/ Puis l’outil pot de peinture
3/ Enfin, cliquer à l’intérieur de la zone à remplir

 

Astuce : Il est possible de régler la valeur de seuil de l’outil. N’hésitez pas à effectuer plusieurs tests avec différentes valeurs de seuil. La combinaison de touches CTRL Z vous permettra d’annuler la dernière opération si l’effet rendu n’est pas satisfaisant.

 

Fermer :
Le pot de peinture s’appliquant sur des zones fermées, il convient donc au préalable de s’assurer qu’aucune fuite de couleur n’est possible.
Avant d’appliquer la couleur, il est donc indispensable de fermer la zone à remplir en utilisant (par exemple) l’outil brosse/pinceau.
Pensez à régler la taille du pinceau : plus la taille est importante, plus le trait sera « gros »

Astuce : il est possible de capturer la couleur d’un trait en utilisant l’outil pipette sélectionner l’outil puis cliquer sur la couleur à capturer, elle passera automatiquement au premier plan

 

Peaufiner :
Voilà la partie la plus longue : les finitions….
Malgré le soin apporté au réglage du seuil de l’outil pot de peinture, parfois des « bavures » subsistent (tout dépend de la qualité du dessin original).
Une méthode possible pour enlever ces bavures est de repasser dessus avec la brosse (outil pinceau + réglage de la taille de la brosse) en utilisant la même couleur (outil pipette pour capturer la couleur)
Ce travail minutieux est parfois fastidieux. Il faudra donc vous armer de patience…

Astuce : procéder à la colorisation du dessin en plusieurs étapes

 

Derniers conseils :
1- Pensez à enregistrer régulièrement votre travail : Fichier | Enregistrer ou Enregistrer sous…
2- Lorsque la colorisation est terminée, exportez votre fichier en .png (par exemple) : Fichier | Exporter

coloriserDessin

Contribuer à abulédu-data avec des photos personnelles

Vous avez pris cet été des photographies de sites, d’animaux, de monuments qui sont de qualité, qui respectent le droit à l’image et dont le format est supérieur à 1000×1000 pixels.

Vous souhaitez en déposer quelques unes sur notre base de données. Vous les avez choisies parce qu’elles sont susceptibles d’éveiller la curiosité des élèves ou d’illustrer certains cours de vos collègues, comme celle-ci pour l’aménagement touristique du littoral par l’ONF.

» Lire la suite

Trente-six histoires naturelles de Jules Renard

Ces poèmes en prose se retrouvent plutôt dans les livres de lecture du collège. Les illustrations de Benjamin Rabier, dorénavant dans le domaine public, sont peut-être un biais de les faire découvrir en cycle 3 en lecture documentaire et en CE1 en complément de la description de la vie d’antan à la ferme.

Octobre 2015 : Questionnaires en ligne sur Wikiversité

» Lire la suite

Dix contes de Grimm illustrés par Walter Crane pour le cycle 3

La soeur de Walter Crane a traduit en anglais au XIXème siècle plusieurs contes de Grimm qu’il a illustrés en noir et blanc. Les illustrations sont adaptées à l’âge des lecteurs et aident à la compréhension. Cette version se trouve sur le site de Gutenberg.

Entre janvier et mai 2012, j’ai traduit en français une dizaine d’entre eux, pour les utiliser avec le logiciel Raconte-moi, et j’ai déposé ces traductions, en vis-à-vis avec les textes anglais saisis, sur libre.pedagosite.net.

» Lire la suite

1 17 18 19 20 21